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Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 21:49
Apprendre à pecher à la mouche
VOUS POUVEZ VOUS INSCRIRE DANS UN CLUB MOUCHE ?
MAIS SI VOUS VOULEZ APPRENDRE PAR VOUS MËME LISEZ SE QU'IL Y A SI-DESSOUS .
- Présentation de la pêche à la mouche
La pêche à la mouche est à la fois une activité de pleine nature, un loisir et un sport.
La pêche à la mouche permet de prendre tous types de poissons .
en "nokill " , c'est à dire remettre le poisson (le plus rapidement à l'eau après photo).
en " peche normal " c'est à dire reprendre JUSTE le poisson que vous manger.
dans des milieux variés par exemple la truite, la carpe, l'ombre etc. (eau douce ou eau salée, rivières ou lacs et etangs).
Cette technique de pêche de loisir est caractérisée par l'utilisation de mouches artificielles puis l'utilisation d'une ligne, appelée soie, dont le poids et l'épaisseur sert à propulser la mouche au moyen du lancé dit "fouetté".
Une "mouche" artificielle est une imitation de toute proie susceptible d'être consommée par un poisson.
La pêche à la mouche en eau douce peut se décomposer en trois catégories définies par ce que la mouche utilisée tente d'imiter:
- la mouche sèche ( imitation d'insectes flottants en surface )
- la nymphe et la mouche noyée ( imitation de larves ou de nymphes d'insectes aquatiques se deplaçant sur le fond ou dérivant naturellement entre deux eaux )
- le streamer ( imitation d'alevin ou de petit poisson )
LE LANCER
Le ressort : Lorsque nous mettons la canne à mouche en mouvement, le poids de la soie la met en flexion (bander le ressort).Quand nous forçons la canne à se redresser, elle transfère son énergie à la soie et c'est cette énergie qui effectue le lancer. Nous bandons la canne en forçant un mouvement à l'encontre de la masse de la soie, nous la redressons en bloquant ce mouvement.
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video du lancer à la mouche après 30 sec. de pub mdr
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2 - La soie et le bas de ligneIl existe deux grand types de soies utilisées pour la pêche à la mouche : les soies naturelles et les soies synthétiques.
Quelle que soit leur nature, leur construction est réalisée selon le même schéma :
- une âme constituée d'un fil ou ensemble de fils constituant le corps central de la soie ;
- un revêtement enrobant l'âme, lui servant de protection et permettant à la soie soit de couler, soit de flotter.
Le bas de ligne est un élément essentiel dans la pratique de la pêche à la mouche. C'est sans doute pour cela qu'il suscite des discussions passionnées entre les moucheurs. Élément intermédiaire entre la soie et la mouche, il a pour mission de garantir une présentation impeccable de la mouche... et donc la réussite de la partie de pêche. Il doit permettre une bonne transmission de l'énergie de la soie pour propulser la mouche, tout en évitant de devenir une contrainte lors de la dérive de celle-ci sur l'eau. L'enjeu est donc considérable.
De manière globale, on estimera qu'un bas de ligne peut être décomposé en deux parties : le corps du bas de ligne et la pointe. Ce terme désigne le brin de nylon auquel est attachée la mouche.
La taille standard du bas de ligne (pointe comprise) correspond a une fois et demi la canne.
Pensez à passer la soie dans les différents anneaux de la canne avant l'action de pêche.
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- Présentation de la pêche à la mouche
La pêche à la mouche est à la fois une activité de pleine nature, un loisir et un sport.
La pêche à la mouche permet de prendre tous types de poissons .
en "nokill " , c'est à dire remettre le poisson (le plus rapidement à l'eau après photo).
en " peche normal " c'est à dire reprendre JUSTE le poisson que vous manger.
dans des milieux variés par exemple la truite, la carpe, l'ombre etc. (eau douce ou eau salée, rivières ou lacs et etangs).
Cette technique de pêche de loisir est caractérisée par l'utilisation de mouches artificielles puis l'utilisation d'une ligne, appelée soie, dont le poids et l'épaisseur sert à propulser la mouche au moyen du lancé dit "fouetté".
Une "mouche" artificielle est une imitation de toute proie susceptible d'être consommée par un poisson.
La pêche à la mouche en eau douce peut se décomposer en trois catégories définies par ce que la mouche utilisée tente d'imiter:
- la mouche sèche ( imitation d'insectes flottants en surface )
- la nymphe et la mouche noyée ( imitation de larves ou de nymphes d'insectes aquatiques se deplaçant sur le fond ou dérivant naturellement entre deux eaux )
- le streamer ( imitation d'alevin ou de petit poisson )
LE LANCER
Le ressort : Lorsque nous mettons la canne à mouche en mouvement, le poids de la soie la met en flexion (bander le ressort).Quand nous forçons la canne à se redresser, elle transfère son énergie à la soie et c'est cette énergie qui effectue le lancer. Nous bandons la canne en forçant un mouvement à l'encontre de la masse de la soie, nous la redressons en bloquant ce mouvement.
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2 - La soie et le bas de ligneIl existe deux grand types de soies utilisées pour la pêche à la mouche : les soies naturelles et les soies synthétiques.
Quelle que soit leur nature, leur construction est réalisée selon le même schéma :
- une âme constituée d'un fil ou ensemble de fils constituant le corps central de la soie ;
- un revêtement enrobant l'âme, lui servant de protection et permettant à la soie soit de couler, soit de flotter.
Le bas de ligne est un élément essentiel dans la pratique de la pêche à la mouche. C'est sans doute pour cela qu'il suscite des discussions passionnées entre les moucheurs. Élément intermédiaire entre la soie et la mouche, il a pour mission de garantir une présentation impeccable de la mouche... et donc la réussite de la partie de pêche. Il doit permettre une bonne transmission de l'énergie de la soie pour propulser la mouche, tout en évitant de devenir une contrainte lors de la dérive de celle-ci sur l'eau. L'enjeu est donc considérable.
De manière globale, on estimera qu'un bas de ligne peut être décomposé en deux parties : le corps du bas de ligne et la pointe. Ce terme désigne le brin de nylon auquel est attachée la mouche.
La taille standard du bas de ligne (pointe comprise) correspond a une fois et demi la canne.
Pensez à passer la soie dans les différents anneaux de la canne avant l'action de pêche.
Dernière édition par Admin le Mer 30 Nov - 23:37, édité 4 fois
Admin- Admin
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:01
La pêche à la mouche est à la fois une activité de pleine nature, un loisir et un sport. Elle permet de prendre de nombreux types de poisson (truite, ombre...) dans des milieux variés, (eau douce ou eau salée, rivières ou étendues d'eau.
Malgré l'essor et la popularisation au cours des années 90 de techniques innovantes permettant de pratiquer avec succès en mer ou sur les poissons carnassiers d'eau douce, elle reste encore traditionnellement associée à la pêche de la truite, de l'ombre ou du saumon atlantique en rivière.
Cette technique de pêche de loisir est caractérisée par:
L'utilisation de mouches artificielles,
L'utilisation d'une ligne, appelée soie, dont le poids et l'épaisseur sert à propulser la mouche au moyen du lancer dit « fouetté ».
C'est ce mode de lancer qui distingue le plus cette technique de tous les autres modes de pêche et qui constitue sa spécificité.
Histoire[modifier]
Illustration du Book of the Black Bass, James A. Henshall M.D., 1881.La première description écrite de pêche à la mouche se trouve dans le Natura Animalium, où Claude Élien (200 après J.C.) décrit une technique de pêche macédonienne consistant à leurrer des « poissons tachetés » (probablement des truites fario) à l'aide d'hameçons recouverts de laine rouge et cerclés de plumes de coq. Il est remarquable de constater qu'au XXIe siècle c'est la même technique, pratiquement inchangée, qui permet aux « moucheurs » de leurrer des truites en imitant par exemple Ecdyonurus venosus (éphémère rougeâtre de la famille des Heptagéniidés).
La deuxième référence écrite est celle de Juliana Berners (ou Barnes ou Bernes, l'orthographe des noms en vieil anglais étant très difficile à déterminer aujourd'hui), abbesse de l'abbaye de Sopwell (Angleterre) au XVe siècle : il s'agit d'ailleurs du premier écrit sur la pêche fait par une femme. Le Livre de St-Alban (Book of St-Alban) est une sorte de guide de savoir-vivre à l'usage de la noblesse : il traite donc des trois savoirs fondamentaux qui font « un homme de qualité », à savoir d'héraldique, de chasse (notamment de fauconnerie) et de pêche. Troisième partie du Livre de St-Alban, le Traité de pêche à la ligne a été imprimé pour la première fois en 1496, mais plusieurs exemplaires manuscrits lui sont antérieurs, dont le plus ancien date de 1425. Il est aujourd'hui couramment admis qu'il s'agissait déjà de la transcription d'un ouvrage antérieur, probablement une ode issue de la Cour d'Orange. Le Traité de pêche à la ligne décrit parfaitement les techniques à mettre en œuvre pour fabriquer douze leurres artificiels (imitant des insectes) appelés mouches.
C'est au XVIIe siècle que la littérature consacrée à la pêche à la mouche commence à s'étoffer vraiment, notamment avec les remarquables apports de Charles Cotton et de Izaak Walton.
Pêcheur à la mouche sur la rivière Matapédia, Québec Techniques[modifier]La pêche à la mouche en eau douce peut se décomposer en trois catégories définies par ce que la mouche utilisée tente d'imiter :
la mouche sèche (imitation d'insectes flottants en surface),
la nymphe et la mouche noyée (imitation de larves ou de nymphes d'insectes aquatiques se déplaçant sur le fond ou dérivant naturellement entre deux eaux),
le streamer (imitation d'alevin ou de petit poisson).
En mer, elle se pratique presque exclusivement au streamer, celui-ci pouvant alors également imiter certains crustacés (crabe ou crevette par exemple).
Une mouche artificielle est une imitation de toute proie susceptible d'être consommée par un poisson. La dénomination (mouche) vient du fait que la technique avait initialement comme but exclusif de pêcher les poissons gobant des insectes en surface. Les pêches subaquatiques (noyée, puis nymphe) sont venues plus tard. La dénomination « mouche » reste utilisée pour les imitations d'alevin ou de jeune poisson, même si ce ne sont pas des insectes.
Un poisson peut prendre une mouche artificielle pour plusieurs raisons :
La mouche imite de façon satisfaisante l'aspect visuel et/ou le comportement d'une proie que le poisson a l'habitude de manger,
La mouche provoque, par son animation et/ou ses couleurs ou reflets, un réflexe d'agressivité du poisson.
Les discussions sur le choix de la bonne mouche selon les conditions sont souvent très riches entre les passionnés. Le choix de la mouche dépend des conditions météorologiques (température de l'eau, de l'air, vent, luminosité), de la saison, ainsi que de l'heure de la journée.
Le Muddler MinnowLes mouches artificielles sont souvent confectionnées par le pêcheur à la mouche lui-même. Le montage de mouche est une activité à part entière qui occupe les passionnés pendant de longues heures de préparation minutieuse. Cette activité nécessite, outre une grande dextérité, une bonne connaissance des comportements alimentaires des poissons recherchés et également en entomologie. On notera toutefois que certains modèles très efficaces n'imitent rien en particulier. On parle alors de « mouche d'ensemble ».
Une mouche est montée en fixant sur l'hameçon divers matériaux, naturels ou synthétiques à l'aide d'un fil de montage (ou soie de montage). Parmi les matériaux les plus utilisés on citera les plumes de coq ou de faisan, mais également de canard, les poils de lièvre, de sanglier, de cervidés (étant creux ils permettent une meilleure flottabilité des leurres) et une variété infinie de matériaux synthétiques spécialement développés pour cette activité.
L'hameçon est généralement maintenu en place dans un étau spécialement conçu pour cet usage.
Malgré l'essor et la popularisation au cours des années 90 de techniques innovantes permettant de pratiquer avec succès en mer ou sur les poissons carnassiers d'eau douce, elle reste encore traditionnellement associée à la pêche de la truite, de l'ombre ou du saumon atlantique en rivière.
Cette technique de pêche de loisir est caractérisée par:
L'utilisation de mouches artificielles,
L'utilisation d'une ligne, appelée soie, dont le poids et l'épaisseur sert à propulser la mouche au moyen du lancer dit « fouetté ».
C'est ce mode de lancer qui distingue le plus cette technique de tous les autres modes de pêche et qui constitue sa spécificité.
Histoire[modifier]
Illustration du Book of the Black Bass, James A. Henshall M.D., 1881.La première description écrite de pêche à la mouche se trouve dans le Natura Animalium, où Claude Élien (200 après J.C.) décrit une technique de pêche macédonienne consistant à leurrer des « poissons tachetés » (probablement des truites fario) à l'aide d'hameçons recouverts de laine rouge et cerclés de plumes de coq. Il est remarquable de constater qu'au XXIe siècle c'est la même technique, pratiquement inchangée, qui permet aux « moucheurs » de leurrer des truites en imitant par exemple Ecdyonurus venosus (éphémère rougeâtre de la famille des Heptagéniidés).
La deuxième référence écrite est celle de Juliana Berners (ou Barnes ou Bernes, l'orthographe des noms en vieil anglais étant très difficile à déterminer aujourd'hui), abbesse de l'abbaye de Sopwell (Angleterre) au XVe siècle : il s'agit d'ailleurs du premier écrit sur la pêche fait par une femme. Le Livre de St-Alban (Book of St-Alban) est une sorte de guide de savoir-vivre à l'usage de la noblesse : il traite donc des trois savoirs fondamentaux qui font « un homme de qualité », à savoir d'héraldique, de chasse (notamment de fauconnerie) et de pêche. Troisième partie du Livre de St-Alban, le Traité de pêche à la ligne a été imprimé pour la première fois en 1496, mais plusieurs exemplaires manuscrits lui sont antérieurs, dont le plus ancien date de 1425. Il est aujourd'hui couramment admis qu'il s'agissait déjà de la transcription d'un ouvrage antérieur, probablement une ode issue de la Cour d'Orange. Le Traité de pêche à la ligne décrit parfaitement les techniques à mettre en œuvre pour fabriquer douze leurres artificiels (imitant des insectes) appelés mouches.
C'est au XVIIe siècle que la littérature consacrée à la pêche à la mouche commence à s'étoffer vraiment, notamment avec les remarquables apports de Charles Cotton et de Izaak Walton.
Pêcheur à la mouche sur la rivière Matapédia, Québec Techniques[modifier]La pêche à la mouche en eau douce peut se décomposer en trois catégories définies par ce que la mouche utilisée tente d'imiter :
la mouche sèche (imitation d'insectes flottants en surface),
la nymphe et la mouche noyée (imitation de larves ou de nymphes d'insectes aquatiques se déplaçant sur le fond ou dérivant naturellement entre deux eaux),
le streamer (imitation d'alevin ou de petit poisson).
En mer, elle se pratique presque exclusivement au streamer, celui-ci pouvant alors également imiter certains crustacés (crabe ou crevette par exemple).
Une mouche artificielle est une imitation de toute proie susceptible d'être consommée par un poisson. La dénomination (mouche) vient du fait que la technique avait initialement comme but exclusif de pêcher les poissons gobant des insectes en surface. Les pêches subaquatiques (noyée, puis nymphe) sont venues plus tard. La dénomination « mouche » reste utilisée pour les imitations d'alevin ou de jeune poisson, même si ce ne sont pas des insectes.
Un poisson peut prendre une mouche artificielle pour plusieurs raisons :
La mouche imite de façon satisfaisante l'aspect visuel et/ou le comportement d'une proie que le poisson a l'habitude de manger,
La mouche provoque, par son animation et/ou ses couleurs ou reflets, un réflexe d'agressivité du poisson.
Les discussions sur le choix de la bonne mouche selon les conditions sont souvent très riches entre les passionnés. Le choix de la mouche dépend des conditions météorologiques (température de l'eau, de l'air, vent, luminosité), de la saison, ainsi que de l'heure de la journée.
Le Muddler MinnowLes mouches artificielles sont souvent confectionnées par le pêcheur à la mouche lui-même. Le montage de mouche est une activité à part entière qui occupe les passionnés pendant de longues heures de préparation minutieuse. Cette activité nécessite, outre une grande dextérité, une bonne connaissance des comportements alimentaires des poissons recherchés et également en entomologie. On notera toutefois que certains modèles très efficaces n'imitent rien en particulier. On parle alors de « mouche d'ensemble ».
Une mouche est montée en fixant sur l'hameçon divers matériaux, naturels ou synthétiques à l'aide d'un fil de montage (ou soie de montage). Parmi les matériaux les plus utilisés on citera les plumes de coq ou de faisan, mais également de canard, les poils de lièvre, de sanglier, de cervidés (étant creux ils permettent une meilleure flottabilité des leurres) et une variété infinie de matériaux synthétiques spécialement développés pour cette activité.
L'hameçon est généralement maintenu en place dans un étau spécialement conçu pour cet usage.
Admin- Admin
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:03
SUITE LANCER
Le ressort : Lorsque nous mettons la canne à mouche en mouvement, le poids de la soie la met en flexion (bander le ressort).Quand nous forçons la canne à se redresser, elle transfère son énergie à la soie et c'est cette énergie qui effectue le lancer. Nous bandons la canne en forçant un mouvement à l'encontre de la masse de la soie, nous la redressons en bloquant ce mouvement.
Dans cet aspect ressort, le point le plus important à maîtriser est le blocage pour assurer un transfert d’énergie efficace. Mais si le lancer mouche n'était que cela, un ressort, planter la canne dans le sol, tirer sur l'extrémité de la soie pour obtenir la courbure maximum et relâcher et le lancer serait fait! Essayez: en fait le bas de ligne n'atteindra même pas la canne.
L’effet levier : il est très important, il génère tous les mouvements et les forces. Avec un levier seul, par exemple, une canne sans flexibilité ( manche à balai, morceau de bois et quelques cannes à mouches...) , il est encore possible de lancer, mais une canne flexible est quand même un bien meilleur outil. Dans notre action de lancer, nous mettons en œuvre 4 leviers combinés, le bras, l’avant bras, le poignet et la canne.
Il faut donc tout mettre en œuvre dans notre gestuelle pour que ces 2 effets, ressort et levier s'ajoutent et en aucun cas ne se contrarient. Et si, pour la plupart, nous comprenons et utilisons bien le levier, nos difficultés sont dans l'action du ressort surtout sa phase blocage et le transfert d’énergie.
Plus le blocage est franc et abrupt, meilleur est le transfert et plus la vitesse de lancer de la soie par la canne, est grande. Travailler sur le blocage est le premier secret du lancer mouche.
C'est le plus sûr moyen de progresser, particulièrement un blocage franc au lancer arrière. Souvent le meilleur moyen de gagner en distance est de se concentrer sur le blocage lors du lancer arrière! Juste un des paradoxes de la vie, se concentrer sur le lancer arrière pour gagner quelques mètre au lancer avant!
Pour s'exercer: Pratiquer des faux lancers avec 8 à 9m de soie, minimum de mouvements de la main, lents, souples et relaxés. Vous concentrer sur le blocage, dire "stop" et serrer la main, vous saurez que blocage est correct par la sensation que vous allez éprouver: vous sentez la canne transférer son énergie. Relaxer la main. Vous devez avoir cette sensation lors du lancer arrière, du lancer avant et à chaque fois que vous arrêtez le mouvement de la canne. C'est cette pure sensation qui est un des plaisirs du lancer mouche.
Cinq principes de mise en oeuvre sont fondamentaux pour effectuer des lancers mouches efficaces:
1) Il ne doit pas y avoir de mou dans la soie: Commencer tout lancer, la soie en ligne droite du bout de la canne à la mouche. S'il y a du mou, la canne ne pourra se charger correctement, une partie du mouvement sera perdu pour récupérer ce mou. La canne commence seulement à se charger quand la mouche commence à bouger.
2) Accélération de la canne: Les fonctions du bras et de la main tenant la canne sont de l'accélérer pour que l'inertie de la soie (sa masse) lui fasse prendre de la flexion ( charge le ressort). La main accélère la canne lentement d'abord, puis l'accélération croît jusqu'à ce que la canne atteigne une position perpendiculaire à la cible. En ce point, la main accélère encore plus rapidement et conclut avec un arrêt brusque. La plus grande partie de l'accélération se fait à la fin du mouvement.
3) Formation d'une boucle efficace:L'extrémité de la canne doit suivre un mouvement rectiligne,
Les boucles du lancer mouche se forment, après le blocage, quand la soie passe l'extrémité de la canne. Une boucle serrée assure un lancer efficace, elle dissipe moins d'énergie et a moins de prise au vent. La forme de la boucle est directement dépendante de la trajectoire parcourue par l'extrémité:
- Trajectoire rectiligne de la pointe de la canne: boucle serrée, partie haute et basse dans le même plan vertical, distant d'environ 50cm.
- Trajectoire convexe: boucle ouverte
- Trajectoire concave: boucle fermée, la pointe de la canne passe par un point bas, vous accrochez la mouche!
- Trajectoire latérale: le bout de la canne ne se déplace pas dans un plan, mais fait une courbe vers la droite ou la gauche, les 2 parties de la boucles sont décalées, ceci est une faute de lancer
4) Taille de l'arc: décrit par la canne. Doit varier avec la longueur de la soie, un lancer de 5 à 6m se fait avec un petit arc. Pour lancer 15m, l'arc doit être plus grand. Voir le schéma à droite C'est la clé d'une boucle serrée, lancer court: arc court, lancer long: arc long.
5) Marquer une pause: Vous devez marquer une pause entre chaque lancer, laisser la soie se déployer complètement au lancer arrière avant de commencer le lancer avant ( et vice versa), sinon le mouvement prématuré crée du mou dans la soie et celle-ci s'écroule. Là aussi, soie courte, pause courte, soie longue, pause longue!
Le ressort : Lorsque nous mettons la canne à mouche en mouvement, le poids de la soie la met en flexion (bander le ressort).Quand nous forçons la canne à se redresser, elle transfère son énergie à la soie et c'est cette énergie qui effectue le lancer. Nous bandons la canne en forçant un mouvement à l'encontre de la masse de la soie, nous la redressons en bloquant ce mouvement.
Dans cet aspect ressort, le point le plus important à maîtriser est le blocage pour assurer un transfert d’énergie efficace. Mais si le lancer mouche n'était que cela, un ressort, planter la canne dans le sol, tirer sur l'extrémité de la soie pour obtenir la courbure maximum et relâcher et le lancer serait fait! Essayez: en fait le bas de ligne n'atteindra même pas la canne.
L’effet levier : il est très important, il génère tous les mouvements et les forces. Avec un levier seul, par exemple, une canne sans flexibilité ( manche à balai, morceau de bois et quelques cannes à mouches...) , il est encore possible de lancer, mais une canne flexible est quand même un bien meilleur outil. Dans notre action de lancer, nous mettons en œuvre 4 leviers combinés, le bras, l’avant bras, le poignet et la canne.
Il faut donc tout mettre en œuvre dans notre gestuelle pour que ces 2 effets, ressort et levier s'ajoutent et en aucun cas ne se contrarient. Et si, pour la plupart, nous comprenons et utilisons bien le levier, nos difficultés sont dans l'action du ressort surtout sa phase blocage et le transfert d’énergie.
Plus le blocage est franc et abrupt, meilleur est le transfert et plus la vitesse de lancer de la soie par la canne, est grande. Travailler sur le blocage est le premier secret du lancer mouche.
C'est le plus sûr moyen de progresser, particulièrement un blocage franc au lancer arrière. Souvent le meilleur moyen de gagner en distance est de se concentrer sur le blocage lors du lancer arrière! Juste un des paradoxes de la vie, se concentrer sur le lancer arrière pour gagner quelques mètre au lancer avant!
Pour s'exercer: Pratiquer des faux lancers avec 8 à 9m de soie, minimum de mouvements de la main, lents, souples et relaxés. Vous concentrer sur le blocage, dire "stop" et serrer la main, vous saurez que blocage est correct par la sensation que vous allez éprouver: vous sentez la canne transférer son énergie. Relaxer la main. Vous devez avoir cette sensation lors du lancer arrière, du lancer avant et à chaque fois que vous arrêtez le mouvement de la canne. C'est cette pure sensation qui est un des plaisirs du lancer mouche.
Cinq principes de mise en oeuvre sont fondamentaux pour effectuer des lancers mouches efficaces:
1) Il ne doit pas y avoir de mou dans la soie: Commencer tout lancer, la soie en ligne droite du bout de la canne à la mouche. S'il y a du mou, la canne ne pourra se charger correctement, une partie du mouvement sera perdu pour récupérer ce mou. La canne commence seulement à se charger quand la mouche commence à bouger.
2) Accélération de la canne: Les fonctions du bras et de la main tenant la canne sont de l'accélérer pour que l'inertie de la soie (sa masse) lui fasse prendre de la flexion ( charge le ressort). La main accélère la canne lentement d'abord, puis l'accélération croît jusqu'à ce que la canne atteigne une position perpendiculaire à la cible. En ce point, la main accélère encore plus rapidement et conclut avec un arrêt brusque. La plus grande partie de l'accélération se fait à la fin du mouvement.
3) Formation d'une boucle efficace:L'extrémité de la canne doit suivre un mouvement rectiligne,
Les boucles du lancer mouche se forment, après le blocage, quand la soie passe l'extrémité de la canne. Une boucle serrée assure un lancer efficace, elle dissipe moins d'énergie et a moins de prise au vent. La forme de la boucle est directement dépendante de la trajectoire parcourue par l'extrémité:
- Trajectoire rectiligne de la pointe de la canne: boucle serrée, partie haute et basse dans le même plan vertical, distant d'environ 50cm.
- Trajectoire convexe: boucle ouverte
- Trajectoire concave: boucle fermée, la pointe de la canne passe par un point bas, vous accrochez la mouche!
- Trajectoire latérale: le bout de la canne ne se déplace pas dans un plan, mais fait une courbe vers la droite ou la gauche, les 2 parties de la boucles sont décalées, ceci est une faute de lancer
4) Taille de l'arc: décrit par la canne. Doit varier avec la longueur de la soie, un lancer de 5 à 6m se fait avec un petit arc. Pour lancer 15m, l'arc doit être plus grand. Voir le schéma à droite C'est la clé d'une boucle serrée, lancer court: arc court, lancer long: arc long.
5) Marquer une pause: Vous devez marquer une pause entre chaque lancer, laisser la soie se déployer complètement au lancer arrière avant de commencer le lancer avant ( et vice versa), sinon le mouvement prématuré crée du mou dans la soie et celle-ci s'écroule. Là aussi, soie courte, pause courte, soie longue, pause longue!
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:13
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:20
LES SOIES
tout est expliquer si-dessous clic sur le lien >>>>>>>>
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Selon sa densité, son profil et sa taille, chaque soie correspond à des conditions d’utilisation particulières.
Les premières lignes pour la pêche à la mouche apparues il y a deux siècles, étaient réellement réalisées en soie naturelle. Aujourd’hui, seul leur nom demeure car elles sont largement remplacées par des matériaux synthétiques. Elles sont composées d’une âme en Dacron ou similaire en leur centre, enrobée de PVC. Pour une parfaite visibilité surtout au coup du soir, elles arborent souvent des couleurs fluos, vert, orange...
Leur densité
En fonction de leur densité, toutes les soies sont classées en quatre grandes familles :
- les soies flottantes (F – floating) sont destinées à la pêche en mouche sèche (en surface)
- les soies intermédiaires (I – intermediate) légèrement plus lourdes que l’eau coulent lentement et s’emploient pour les pêches entre deux eaux (de 1 à 2 m)
- les soies à pointe plongeante (FS – floating/sinking) composées d’une partie flottante et d’une extrémité coulante, sont réservées aux zones profondes (3 à 4 m)
- les soies coulantes (S – sinking) très lourdes, sont conçues pour prospecter les postes très profonds (5 m et plus).
Leur profil
Parmi de nombreux profils de soie, les cinq suivants sont les plus utilisés :
- les soies parallèles (L – level) sont idéales pour les petites rivières où les lancers discrets, courts et précis s’imposent
- les soies double fuseau (DT – Double Taper) sont les plus polyvalentes, elles facilitent les posés délicats
- les soies à fuseau décentré (WF – Wieght Forward) grâce à la partie la plus lourde située à l’avant, permettent des lancers longs pour les grandes rivières et les réservoirs
- les soies à tête de ligne (ST – Shooting Taper) très courtes, de 9 à 14 m, sont directement liées au backing, elles rendent possibles des lancers records, 35 à 40 m, mais sont peu précises.
- les soies à fuseau Tringle Taper (TT) s’utilisent en lacs et réservoirs pour des longs lancers mais avec un posé précis et relativement discret.
Leur taille
Les soies sont numérotées de 1 à 15 selon les normes de l’AFTM (Association of Fishing Tackle Manufacturers of America). Cette codification correspond au poids des trente premiers pieds soit approximativement dix mètres. Les soies n° 1 à 3 s’utilisent pour les petites rivières, n° 4 à 6 pour les rivières de taille moyenne, n° 8 à 10 pour les réservoirs et n° 12 à 15 pour les carnassiers et le saumon.
Selon sa densité, son profil et sa taille, chaque soie correspond à des conditions d’utilisation particulières.
Les premières lignes pour la pêche à la mouche apparues il y a deux siècles, étaient réellement réalisées en soie naturelle. Aujourd’hui, seul leur nom demeure car elles sont largement remplacées par des matériaux synthétiques. Elles sont composées d’une âme en Dacron ou similaire en leur centre, enrobée de PVC. Pour une parfaite visibilité surtout au coup du soir, elles arborent souvent des couleurs fluos, vert, orange...
Leur densité
En fonction de leur densité, toutes les soies sont classées en quatre grandes familles :
- les soies flottantes (F – floating) sont destinées à la pêche en mouche sèche (en surface)
- les soies intermédiaires (I – intermediate) légèrement plus lourdes que l’eau coulent lentement et s’emploient pour les pêches entre deux eaux (de 1 à 2 m)
- les soies à pointe plongeante (FS – floating/sinking) composées d’une partie flottante et d’une extrémité coulante, sont réservées aux zones profondes (3 à 4 m)
- les soies coulantes (S – sinking) très lourdes, sont conçues pour prospecter les postes très profonds (5 m et plus).
Leur profil
Parmi de nombreux profils de soie, les cinq suivants sont les plus utilisés :
- les soies parallèles (L – level) sont idéales pour les petites rivières où les lancers discrets, courts et précis s’imposent
- les soies double fuseau (DT – Double Taper) sont les plus polyvalentes, elles facilitent les posés délicats
- les soies à fuseau décentré (WF – Wieght Forward) grâce à la partie la plus lourde située à l’avant, permettent des lancers longs pour les grandes rivières et les réservoirs
- les soies à tête de ligne (ST – Shooting Taper) très courtes, de 9 à 14 m, sont directement liées au backing, elles rendent possibles des lancers records, 35 à 40 m, mais sont peu précises.
- les soies à fuseau Tringle Taper (TT) s’utilisent en lacs et réservoirs pour des longs lancers mais avec un posé précis et relativement discret.
Leur taille
Les soies sont numérotées de 1 à 15 selon les normes de l’AFTM (Association of Fishing Tackle Manufacturers of America). Cette codification correspond au poids des trente premiers pieds soit approximativement dix mètres. Les soies n° 1 à 3 s’utilisent pour les petites rivières, n° 4 à 6 pour les rivières de taille moyenne, n° 8 à 10 pour les réservoirs et n° 12 à 15 pour les carnassiers et le saumon.
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Selon sa densité, son profil et sa taille, chaque soie correspond à des conditions d’utilisation particulières.
Les premières lignes pour la pêche à la mouche apparues il y a deux siècles, étaient réellement réalisées en soie naturelle. Aujourd’hui, seul leur nom demeure car elles sont largement remplacées par des matériaux synthétiques. Elles sont composées d’une âme en Dacron ou similaire en leur centre, enrobée de PVC. Pour une parfaite visibilité surtout au coup du soir, elles arborent souvent des couleurs fluos, vert, orange...
Leur densité
En fonction de leur densité, toutes les soies sont classées en quatre grandes familles :
- les soies flottantes (F – floating) sont destinées à la pêche en mouche sèche (en surface)
- les soies intermédiaires (I – intermediate) légèrement plus lourdes que l’eau coulent lentement et s’emploient pour les pêches entre deux eaux (de 1 à 2 m)
- les soies à pointe plongeante (FS – floating/sinking) composées d’une partie flottante et d’une extrémité coulante, sont réservées aux zones profondes (3 à 4 m)
- les soies coulantes (S – sinking) très lourdes, sont conçues pour prospecter les postes très profonds (5 m et plus).
Leur profil
Parmi de nombreux profils de soie, les cinq suivants sont les plus utilisés :
- les soies parallèles (L – level) sont idéales pour les petites rivières où les lancers discrets, courts et précis s’imposent
- les soies double fuseau (DT – Double Taper) sont les plus polyvalentes, elles facilitent les posés délicats
- les soies à fuseau décentré (WF – Wieght Forward) grâce à la partie la plus lourde située à l’avant, permettent des lancers longs pour les grandes rivières et les réservoirs
- les soies à tête de ligne (ST – Shooting Taper) très courtes, de 9 à 14 m, sont directement liées au backing, elles rendent possibles des lancers records, 35 à 40 m, mais sont peu précises.
- les soies à fuseau Tringle Taper (TT) s’utilisent en lacs et réservoirs pour des longs lancers mais avec un posé précis et relativement discret.
Leur taille
Les soies sont numérotées de 1 à 15 selon les normes de l’AFTM (Association of Fishing Tackle Manufacturers of America). Cette codification correspond au poids des trente premiers pieds soit approximativement dix mètres. Les soies n° 1 à 3 s’utilisent pour les petites rivières, n° 4 à 6 pour les rivières de taille moyenne, n° 8 à 10 pour les réservoirs et n° 12 à 15 pour les carnassiers et le saumon.
Selon sa densité, son profil et sa taille, chaque soie correspond à des conditions d’utilisation particulières.
Les premières lignes pour la pêche à la mouche apparues il y a deux siècles, étaient réellement réalisées en soie naturelle. Aujourd’hui, seul leur nom demeure car elles sont largement remplacées par des matériaux synthétiques. Elles sont composées d’une âme en Dacron ou similaire en leur centre, enrobée de PVC. Pour une parfaite visibilité surtout au coup du soir, elles arborent souvent des couleurs fluos, vert, orange...
Leur densité
En fonction de leur densité, toutes les soies sont classées en quatre grandes familles :
- les soies flottantes (F – floating) sont destinées à la pêche en mouche sèche (en surface)
- les soies intermédiaires (I – intermediate) légèrement plus lourdes que l’eau coulent lentement et s’emploient pour les pêches entre deux eaux (de 1 à 2 m)
- les soies à pointe plongeante (FS – floating/sinking) composées d’une partie flottante et d’une extrémité coulante, sont réservées aux zones profondes (3 à 4 m)
- les soies coulantes (S – sinking) très lourdes, sont conçues pour prospecter les postes très profonds (5 m et plus).
Leur profil
Parmi de nombreux profils de soie, les cinq suivants sont les plus utilisés :
- les soies parallèles (L – level) sont idéales pour les petites rivières où les lancers discrets, courts et précis s’imposent
- les soies double fuseau (DT – Double Taper) sont les plus polyvalentes, elles facilitent les posés délicats
- les soies à fuseau décentré (WF – Wieght Forward) grâce à la partie la plus lourde située à l’avant, permettent des lancers longs pour les grandes rivières et les réservoirs
- les soies à tête de ligne (ST – Shooting Taper) très courtes, de 9 à 14 m, sont directement liées au backing, elles rendent possibles des lancers records, 35 à 40 m, mais sont peu précises.
- les soies à fuseau Tringle Taper (TT) s’utilisent en lacs et réservoirs pour des longs lancers mais avec un posé précis et relativement discret.
Leur taille
Les soies sont numérotées de 1 à 15 selon les normes de l’AFTM (Association of Fishing Tackle Manufacturers of America). Cette codification correspond au poids des trente premiers pieds soit approximativement dix mètres. Les soies n° 1 à 3 s’utilisent pour les petites rivières, n° 4 à 6 pour les rivières de taille moyenne, n° 8 à 10 pour les réservoirs et n° 12 à 15 pour les carnassiers et le saumon.
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:37
LES CANNES==================
Cannes et moulinets
Comme nous l'avons déjà ennoncé, l'équipement n'est pas obligatoirement couteux. De même il n'est pas indispensable d'avoir une quantité impoortante de cannes à pêche
, de moulinets et de soies. Pour pêche à la mouche en rivière, une canne passe-partout d'un poids de 100g de 8'6 en 3 brins peut suffire.
Elle doit pouvoir supporter une soie N 5 et avoir une action de pointe. Le moulinet sera quant à lui suceptible de contenir une soie DT5F + 100 m 20 lbs. En réservoire, vous pouvez espérer capturer de beaux poissons.
Une canne carbone en 2 brins d'une longueur de 9,5' ou 10' ayant une action de pointe peut vous permettre une agréable découverte de la pêche à la mouche.
Un moulinet pesant 175g ayant une capacité soie + réserve basées sur WF7F+200 m. 20 Lbs vous permettra de beaux combats.
Le frein à disques est d'un bon confort. Si vous pouvez avoir une bobine supplémentaire à portée de main, vous serez ainsi paré pour faire de bonnes parties de pêche.
Prépoyez dans votre saccoche des pointes plongeantes et quelques bas de ligne en queue de rat qui vous permettront de faire face à la plupart des situations.
Cannes et moulinets
Comme nous l'avons déjà ennoncé, l'équipement n'est pas obligatoirement couteux. De même il n'est pas indispensable d'avoir une quantité impoortante de cannes à pêche
, de moulinets et de soies. Pour pêche à la mouche en rivière, une canne passe-partout d'un poids de 100g de 8'6 en 3 brins peut suffire.
Elle doit pouvoir supporter une soie N 5 et avoir une action de pointe. Le moulinet sera quant à lui suceptible de contenir une soie DT5F + 100 m 20 lbs. En réservoire, vous pouvez espérer capturer de beaux poissons.
Une canne carbone en 2 brins d'une longueur de 9,5' ou 10' ayant une action de pointe peut vous permettre une agréable découverte de la pêche à la mouche.
Un moulinet pesant 175g ayant une capacité soie + réserve basées sur WF7F+200 m. 20 Lbs vous permettra de beaux combats.
Le frein à disques est d'un bon confort. Si vous pouvez avoir une bobine supplémentaire à portée de main, vous serez ainsi paré pour faire de bonnes parties de pêche.
Prépoyez dans votre saccoche des pointes plongeantes et quelques bas de ligne en queue de rat qui vous permettront de faire face à la plupart des situations.
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:46
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 22:52
LES INDICATEURS DE TOUCHES EN NYMPHE
il en existe aussi de tres nombreux rigoleto etc ...
mais voici se que j'utilise " LA PATE ".
prenez en une petite boule ( " jaune par temps nuageux " ) ; (" orange fluo par temps ensoleillé")
fixez là sur votre bas de ligne ( a un noeud )
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mais voici se que j'utilise " LA PATE ".
prenez en une petite boule ( " jaune par temps nuageux " ) ; (" orange fluo par temps ensoleillé")
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 23:05
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Re: Apprendre à pecher à la mouche
Admin Mer 30 Nov - 23:11
CARNET D'AMADOU
l'amadou sert a sècher vos mouches sèches une fois quelles sont détrempées.
l'amadou vient d'un champignon. >>>>>>
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mais le procédé pour le rendre mou et tendre à la fois est tellement contraignant
que je préfère l'acheter comme ceci >>>>>>>>>
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pour sècher vostre mouche mettez là entre deux feuillet d'amadou et presser légèrement 5 sec .
si vous desirer faire vous même un carnet sèche mouche .
cliquez sur le lien si-dessous >>>>>>>>>>>>>>>>>
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l'amadou sert a sècher vos mouches sèches une fois quelles sont détrempées.
l'amadou vient d'un champignon. >>>>>>
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Commentaire de jean-loup
pirloup Jeu 1 Déc - 15:55
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Super bonne idée pour celui qui ne c'est pas pêcher à la mouche
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à bientôt Lulu .
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à bientôt Lulu .
pirloup- Admin
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